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Dommage pour la carte parce que l’article parle beaucoup plus d’eau que des migrations des animaux. Ça rejoint la proposition de JLM de redessiner et réassigner les régions comme administrateurs des fleuves du territoire je crois

[…] le professeur d’architecture Mathias Rollot. Son échelle emblématique est le bassin-versant. Les biorégions suivent les torrents, les rivières et les fleuves qui apportent avec l’eau la vie et créent une première forme de communauté.

Les biorégionalistes, eux, vont dénicher la source réelle, suivre les canalisations et remonter jusqu’aux rivières, en passant par les retenues d’eaux, pour prendre conscience de toute la complexité du système hydraulique. Leur démarche va être similaire pour le bois, la nourriture ou nos autres ressources. les biorégionalistes tissent l’étoffe de notre relation aux écosystèmes.

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4 points

Merci pour la carte, ça donne une meilleure perspective.
Il y a aussi les régions de bassins plus petits autour d’affluents qui sont importantes, sans parler des liens entre les nappes phréatiques et la captation des rivières.
À mon avis tout le processus de redéfinir des contours politiques en fonction de ça est très solarpunk, du moment que ce n’est pas fait avec des intentions productivistes qui pourraient aussi tout foutre en l’air, même en bio-régions.

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Oui, d’ailleurs j’aurais du préciser, la carte que j’ai ajouté à mon commentaire c’est la première que j’ai trouvée en cherchant les bassins des fleuves, y’en a des plus détaillées qui peuvent aller plus loin je pense, mais j’aurais du donner une légende dès le début haha

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Solarpunk francophone

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Imaginer et créer un monde plus optimiste où décroissance, ingéniosité, et camaraderie permettent d’appréhender autrement le dérèglement climatique et les inégalités sociales.

Par opposition au cyberpunk, l’imagerie solarpunk la plus répandue est généralement faite de villes arborées où les tours en verre sont couvertes d’arbres et de plantes. Derrière cette esthétique, le solarpunk porte aussi une critique du capitalisme, principal moteur de la destruction de l’environnement. Même s’il est impossible de définir précisément ce qu’est le mouvement solarpunk, qui mélange art, science et politique, plusieurs thèmes et radicalités s’y rencontrent autour d’une même envie d’avenir désirable où l’activité humaine n’est plus un cancer pour la planète : Low tech et DIY, énergies renouvelables, permaculture, éco-communisme, anarchisme, communauté(s), infrapolitique…

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